J'adore tomber sur des romans et des auteurs inconnus. Je choisis souvent mes prochains livres de chevet pour des raisons pas franchement intellectuelles: une jolie couverture, un titre poétique... Bien sûr, je lis aussi des romans que des ami(e)s peuvent m'avoir conseillés; j'ai d'ailleurs découvert de véritables perles grâce à eux, comme "La joueuse de go" de Shan Sa ou "L'empire des solitudes" de Marc Durin-Valois.

"Opium" fait partie des romans issus d'une sorte d'achat compulsif: je ne me suis fiée qu'à son titre, identique au nom d'une de mes deux félines, et qui évoque irrémédiablement les charmes de l'Orient. L'histoire semble alléchante et la couverture est très belle; il semble que je sois bien tombée une fois de plus! :)

Quatrième de couverture
C'est une route aux mille parfums, aux mille périls aussi : celle qui, partant de Londres, suit la voie des Indes pour se perdre irrémédiablement dans l'Empire de la Chine. Un périple que l'on nomme la route du thé. Pour la première fois, en 1838, un homme va s'y aventurer, décidé à percer le secret des thés vert, bleu et blanc, inconnus en Angleterre. Au fil de son voyage, il va rencontrer Pearle, un riche négociant irlandais, Wang, le gardien de la vallée sacrée, Lu Chen, l'invisible empereur du thé et Loan, une chinoise aux yeux verts qui porte, tatouée sur son épaule, une fleur de pavot. Au terme de sa quête, l'opium. Un amour que l'on ne choisit pas.