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dimanche 26 février 2006

Blog meme


Merci à Anne de BlogBio, qui m'a gentiment fait passer ce questionnaire. Je vais essayer de me concentrer car, en général, je suis une vraie plaie pour répondre aux questions: plus indécise que moi, ya pas! ;)

1. Comment avez vous découvert les blogs culinaires?!
J'avais déjà une sorte de site web, mais je n'étais pas très motivée au départ. Puis, j'ai découvert par hasard le blog de Cléa qui m'a ensuite dirigée vers BlogActu, où j'ai découvert des centaines de nouveaux blogs.

2. Quel blog vous a le plus inspiré au début de votre aventure? celui qui vous a permis de dire "moi aussi j'ai envie"!
Réponse visible à la première question: c'est le très intéressant blog de Cléa, bien sûr! :)

3. Pourquoi vous vous êtes lancé dans l'aventure?
Végétarienne depuis peu, j'avais surtout envie de parler de cette nouvelle passion. Il faut l'avouer: le végétarisme fait peur aux gens. Mais c'est surtout parce qu'il est très méconnu! J'avais donc principalement envie de le faire connaitre en montrant qu'il est très facile de devenir végé et surtout en expliquant pourquoi: pour les animaux, pour la santé et pour la planète.

4. Comment et pourquoi avez vous choisi ce nom pour votre blog?!!
Il faut dire que le nom de mon blog n'est pas très original! C'est principalement car ce blog n'est pas dédié à un sujet en particulier. Evidemment, en ce moment, il parle surtout de cuisine, mais je voulais surtout qu'il me représente et soit le reflet de ce que j'ai envie de partager. Tout simplement. :)

5. Petit bilan personnel : ce que le blog vous apporte, etc...
En gros, ce blog me permet de partager ce qui me passe par la tête avec qui veut l'entendre. Chacun peut passer ici, piocher quelques recettes, voir des photos de mes chats ou en apprendre plus sur le végétarisme et la protection animale. Je suis contente de mes quelques visiteurs et de pouvoir leur montrer qu'on peut se nourrir et vivre sans accabler le monde animal et sans passer totalement pour quelqu'un d'original. D'ailleurs, pour l'instant, personne n'a pu relever ce défi: me donner une seule bonne raison de ne pas être végétarienne.
De plus, je suis ravie d'avoir fait la connaissance, via la blogosphère, de nombreuses personnes de divers horizons et divers pays. S'il y a bien quelque chose qui me touche le plus, c'est ça, sans aucune hésitation.
Petit bémol auquel je ne m'attendais pas: un blog, c'est vraiment du boulot!!!


Merci encore à Anne d'avoir pensé à moi. Que ceux qui n'ont pas encore répondu à ce questionnaire et qui en ont envie ne se gènent pas, je repasse le flambeau à qui le veut. :)

samedi 25 février 2006

Croustade de poireaux aux coquillettes et au tofu



Un mélange onctueux ...

Pour tout vous avouer, je ne connaissais jusqu'à présent les poireaux qu'à travers la succulente soupe poireaux/pommes de terre de ma grand-mère. C'est fou parfois comme on se fait des idées sur certains ingrédients. J'étais persuadée de ne pas aimer ce légume, depuis que j'avais gouté une entrée ignoble de poireaux froids en vinaigrette. Il faut dire que c'était lors d'un repas à la cantine du boulot... Rien de bien étonnant au fait de trouver un plat mauvais là-bas, j'aurais dû me méfier.

Piochée au hasard d'un de mes bouquins de cuisine, cette recette est rapide, simple et délicieuse. De quoi se régaler d'un bon petit plat, même quand on rentre fatigué d'une journée de travail. Et, je sais pas vous, mais moi, plus ça croustille, plus j'aime.


...sous un aspect croustillant et doré.
  • 2 poignées de coquillettes complètes
  • 1 poireau coupé en rondelles
  • 1/2 brique de crème de soja liquide
  • 100 grs de tofu fumé
  • Sel, poivre et muscade
  • Margarine, huile d'olive
  • Chapelure (je n'en avais pas, j'ai donc mixé des biscottes :) )
Faire cuire les coquillettes à l'eau salée et faire revenir le poireau dans un peu d'huile d'olive. Une fois qu'il est tendre et fondant, saler, poivrer et verser la crème liquide. Ajouter le tofu détaillé en lamelles et assaisonner avec la muscade et le poivre. Egoutter les pâtes et les mélanger aux poireaux. Verser le tout dans un plat à gratin et saupoudrer généreusement de chapelure. Parsemer de morceaux de margarine et enfourner pour 5 à 10 minutes à four chaud (200°C).

Verdict: Je viens à peine de découvrir cette recette et pourtant, quelle trouvaille! Et avec de la chapelure maison, c'est encore meilleur.

dimanche 19 février 2006

Weekend Cat Blogging #37


So, will you add your WCB post or what?! ;)

Each weekend food Bloggers around the world share pictures of their cats. What a great way to watch cute cats and discover yummy recipes! Just send your permalink in a comment to Clare at Eat Stuff and add a "Weekend Cat Blogging" tag to your post.

Mange-tout au tofu


Haricots mange-tout et cébettes, voilà que j'innove à fond en ce moment côté cuisine. Même si je connaissais (seulement de nom) cette variété de haricots, je dois avouer que je n'avais encore jamais entendu parler de cébette. Alors pour info, même si ça ressemble rudement à un poireau, la cébette est une variété de petit oignon cultivé dans le sud-est de la France. On y mange tout, le vert comme le blanc. Avouez que je vous ai appris quelque chose. ;)

Pour la peine, je vous offre une petite photo de mes nouveaux ingrédients amis. Ben quoi? c'est que je suis pas peu fière d'être sortie de mes traditionnels pommes de terre/riz. Quoique... en y regardant bien, vous verrez que j'ai accompagné mes haricots de pommes de terre sautées... :-D

Issue du très bon livre de recettes "Assiettes végétariennes et plats uniques" de Valérie Cupillard, cette recette est vraiment très simple à réaliser. Elle aura le mérite d'ajouter une touche de nouveauté et d'Asie à votre cuisine.





Pour 2 personnes
  • 250 grs de haricots mange-tout
  • 1 cébette
  • 1 cuillère à soupe de sauce soja
  • 1 cuillère à soupe d'huile de sésame
  • 100 grs de tofu aux herbes
Verser la cébette coupée en roncelles avec les haricots mange-tout dans une sauteuse. Ajouter environ 50 ml d'eau et laisser mijoter doucement jusqu'à évaporation (environ 10 à 15 minutes). Ajouter la sauce soja, l'huile de sésame et le tofu coupé en dés. Remuer sur feu vif pendant quelques minutes.


Servir chaud avec quelques pommes de terre sautées.

jeudi 16 février 2006

Apple pie


L'aspect de cette tarte m'a toujours intriguée. Comment résister à aller voir ce qui se cache à l'intérieur, surtout quand ça sent si bon? Moi qui suis très attirée par les Etats-Unis (aargh, quelle traitresse je suis! ;) ), je ne pouvais passer à côté de ce dessert; qui plus est quand j'en ai trouvé la recette dans un de mes bouquins de cuisine. Suivez-moi dans le monde merveilleux de la célèbre Apple Pie.

Recette emblématique aux Etats-Unis, l'apple pie a pourtant bien un passé européen. Ses origines remontent au XIVème siècle, époque à laquelle les Anglais découvraient tout juste la meat pie, qu'ils déclinaient alors à toutes les sauces. Fous de leur tarte, ils allèrent même jusqu'à en faire une version sucrée, dans laquelle ils remplacèrent tout simplement la viande par des pommes. Dessert adulé durant le règne d'Elizabeth I, l'apple pie fut impitoyablement bannie du pays lors de la création du Commonwealth dans les années 1600, époque à laquelle la moindre source de plaisir étaient plutôt mal vue. Heureusement pour tout le monde, le règne du roi Charles II annonça le retour à un style de vie plus chaleureux. On célébra alors le grand retour de l'apple pie! Ouf, on a vraiment failli passer à côté de quelque chose. ;)
  • 750 grs à 1 kg de pommes
  • 125 grs de sucre roux
  • 1 cuillère à café de cannelle en poudre ou de gingembre moulu
  • 2 rouleaux de pâte brisée toute faite
  • Un peu de lait végétal pour faire dorer la tarte

Quelques étapes...

Garnir un moule à tarte du premier rouleau de pâte brisée. Eplucher, évider et couper les pommes en fines lamelles. Les mélanger avec le sucre et les épices, puis bien tasser le mélange sur le fond de tarte. Ajouter un peu d'eau si les pommes sont peu juteuses. Abaisser le second rouleau de pâte de façon à recouvrir la tarte. Humecter les bords du fond de tarte et déposer le couvercle de pâte par-dessus, en appuyant avec les dents d'une fourchette pour coller les bords. Retirer l'excédent de pâte tout autour de la tarte et l'utiliser pour réaliser de petites décorations à coller sur la tarte (en les humectant d'un peu d'eau). Badigeonner de lait pour faire dorer, puis tailler 2 fentes dans la couche supérieure de pâte. Enfourner au four préchauffé à 220°C (th. 7/8) pour 20 minutes, puis baisser la température à 180°C (th. 6) pour encore 30 minutes. Servir chaud ou tiède.


Dorée et parfumée à souhait. :)

Verdict: Je suis vraiment contente de ma première apple pie, elle est très réussie. :) Sucrée et parfumée, c'est une tarte facile à faire, le plus long étant encore d'éplucher et de couper les pommes !

mardi 14 février 2006

Le meilleur hachis parmentier du monde est végétarien!


Après une véritable traversée du désert question cuisine, je reprends petit-à-petit l'envie de me faire de bons petits plats. J'ai recommencé doucement en me concoctant un soir une bonne purée de pommes de terre maison. C'est vrai que c'est simple, mais qu'est-ce que c'est bon! Et l'utilisation du lait de soja lui donne une légèreté vraiment apréciable.
Mais quand il nous reste une grosse platrée de purée, en général, on se rabat sur un bon hachis parmentier, pas vrai? Qu'à cela ne tienne, c'est pas parce que je suis végé que j'allais me priver de ce plaisir.
Même un gros mangeur de viande en oubliera la version carnée, tant cette recette est légère et parfumée, je vous le promets! ;)

Une valeur sûre pour tout l'hiver.
  • 800 grs de purée de pommes de terre (maison de préférence :) )
  • 80 grs de protéines de soja texturées hachées
  • 300 grs de tomates concassées
  • 1 oignon haché
  • 1 gousse d'ail hachée
  • 2 cuillères à soupe de tamari
  • 2 cuillères à soupe de bouillon végétal en poudre ou en pâte (ou 2 petits cubes Kubor)
  • 1 cuillère à soupe d'herbes de Provence
  • 1 poignée de lentilles cuites (facultatif, c'étaient des restes)
  • 2 cuillères à soupe de persil haché
  • Huile d'olive et eau.
  • Chapelure et levure maltée (facultatif)
Faire revenir l'oignon et l'ail dans un peu d'huile d'olive pendant quelques minutes. Ajouter le tamari, les herbes de Provence, les tomates, le soja, les lentilles, le bouillon et 2 bols d'eau. Porter à ébullition et laisser mijoter environ 15 minutes. Incorporer le persil en fin de cuisson. Verser la moitié de la purée dans un plat à gratin et étaler le hachis par-dessus. Recouvrir de la purée restante, saupoudrer de chapelure et/ou de levure maltée, et enfourner à 200°C pendant environ 10 minutes.

Verdict: Une merveille! Prenez le temps de faire votre purée maison, le résultat n'en sera que meilleur, ça vaut vraiment le coup.

lundi 13 février 2006

Moments de grâce en Mongolie


Il y a des jours comme ça où vous tombez par hasard sur la jaquette d'un film dans une vidéothèque, un film dont vous n'avez jamais entendu parler, et ce film vous transporte dans un magnifique rêve éveillé.

C'est ce qui m'est arrivé il y a quelques semaines quand j'ai choisi de voir "L'histoire du chameau qui pleure". Grande amoureuse des animaux (au cas où vous auriez pas rémarqué ;) ), je ne pouvais pas passer à côté d'un film paré d'un si beau titre. J'ai donc tenté le coup et franchement, je suis tombé sous le charme.
En Mongolie, il est une légende qui raconte que lorsqu'une chamelle a eu du mal à mettre bas, il arrive souvent qu'elle rejette son petit tant elle a souffert. On peut alors soulager l'âme en colère de la chamelle en appellant un violoniste qui essaiera de l'émouvoir par la musique, afin de la réconcilier avec son bébé. D'origine mongole, c'est cette histoire qu'a voulu raconter la réalisatrice Byambasuren Davaa en filmant une authentique famille mongole dans sa vie de tous les jours.
Ce film est vraiment un enchantement du début à la fin : musique, paysages, personnages, relations animaux/humains, etc, tout y est bouleversant de beauté et de simplicité. Une véritable bouffée d'oxygène... et un vrai coup de foudre pour la Mongolie.
Bande annonce.

Suite à cette révélation sur la Mongolie, je me suis alors précipitée pour voir "Le chien jaune de Mongolie" de passage dans un cinéma d'auteurs d'Aix. Et c'est le jour même de la scéance que j'ai eu la bonne surprise de voir que ce film était de la même réalisatrice, Byambasuren Davaa. J'étais sûre de ne pas être déçue... et je ne l'ai pas été! :)
Ici, la réalisatrice nous montre la vie d'une famille de nomades du Nord de la Mongolie. Un jour, leur fille aînée de six ans, Nansa, trouve un jeune chien qu'elle décide de ramener avec elle. Son père, pensant qu'il va leur porter malheur, exige qu'elle s'en débarasse. La petite fille décide alors de le cacher, mais le jour où la famille déménage, elle se voit contrainte d'abandonner le chien...
Une fois de plus, Byambasuren Davaa nous a offert une pure merveille, qui nous transporte loin, très loin. La musique y est une fois de plus obsédante et on s'attache à cette famille et à son mode de vie. On en vient même à les envier, eux qui n'ont pourtant ni Internet, ni TV... :)
Bande annonce.

dimanche 12 février 2006

Weekend Cat Blogging #36


Bien que certains les trouvent trop indépendants, voire hautains, c'est justement ce caractère discret qui attire tant les amoureux des chats. Mystérieux, sensuels et grâcieux, nos petits félins savent se faire aimer à distance, dans le respect des besoins de chacun.
Il est clair que si un chat ne vous manifeste pas son amour de la même façon qu'un chien, il n'en reste pas moins très attaché à son maitre. Ce sont justement ces petites manifestations d'amour que l'on prend parfois le temps de "capter" qui m'émeuvent le plus. Par exemple, même si Vodka n'est pas du genre caline (jamais il n'ira sur les genoux de quiconque), je sais qu'elle est là, à me couver de ses beaux yeux dorés. Que j'aille faire la cuisine, prendre un bain ou surfer sur le net, je n'ai qu'à tourner la tête pour la voir qui me surveille de son regard bienveillant. Elle est discrète certes, mais je suis sûre que son amour n'en est pas moins réel. :)

D'ailleurs, quelle meilleure citation que celle-ci pour illustrer mes propos :
"Si vous êtes digne de son affection, un chat deviendra votre ami, mais jamais votre esclave."
- Théophile Gautier -

Opium and Vodka always wait for me when I take a bath. So cute... :)

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Cookies à la caroube


Je suis en pleine recherche de recettes à base de caroube. C'est ça d'acheter une grosse boite de poudre de caroube, après il faut assumer !
Mes recherches n'ayant pas vraiment porté leurs fruits, j'ai donc adapté une recette basique de cookies au cacao afin de pouvoir y utiliser ma caroube. Simple mais efficace, cette petite recette est donc à l'origine prévue pour du cacao en poudre non sucré. A vous de voir ce que vous préférez. :)



Pour une trentaine de cookies
  • 250 grs de farine bise
  • 100 grs de margarine
  • 100 grs de sucre roux
  • 50 grs de poudre de caroube
  • 1 cuillère à café de cannelle en poudre
  • 80 ml d'eau chaude
  • 1 cuillère à café de levure chimique
  • 1 pincée de sel
Dans un saladier, mélanger la farine, la levure et le sel, et mettre le tout de côté. Dans un bol, mélanger la caroube et l'eau chaude. Dans un troisième récipient, mélanger le sucre roux et le beurre afin d'obtenir une pâte homogène. Incorporer doucement le mélange à la caroube, et finir en ajoutant petit à petit le mélange à base de farine. Laisser la pâte reposer au frais pendant 2 heures...
Préchauffer le four à 180°C. Disposer des petites boulettes de pâte sur une plaque de papier sulfurisé et les aplatir légèrement. Mettre au four pour 10 à 15 minutes. Laisser refroidir et servir.

Verdict: Le gout de la caroube, associé à celui de la cannelle, se rapproche certes du cacao, mais personne ne sera dupe ! ;) Si vous aimez le sucre (comme moi...), n'hésitez pas à en rajouter 50 grs de plus, on dirait que la cuisson inhibe le goût sucré, pourtant bien présent quand la pâte est encore crue.

mercredi 8 février 2006

Calculez votre empreinte écologique


A l'heure où tout le monde (ou presque...) s'accorde à reconnaitre que la planète va mal, il est aujourd'hui grand temps d'agir pour tenter de la sauver. J'entends déjà les sceptiques se lamenter à grands renforts de "de toutes façons, ça sert à rien", mais s'y chacun y met du sien, les choses ne peuvent qu'évoluer positivement. C'est comme ça qu'il faut penser: po-si-tif.

Cependant, avant d'agir, il faut déjà savoir ce qui cloche et surtout, savoir se remettre en question. Pour cela, l'organisation Agir21 vous propose un questionnaire, qui pourrait, sur certains d'entre vous je l'espère, occasionner bien des prises de conscience.

C'est quoi l'empreinte écologique ?

Sous ce joli terme, on retrouve le calcul de ce que la Terre doit fournir pour subvenir à nos besoins. Souvent exprimé en superficie, l'empreinte écologique permet de se rendre compte des ressources que nous demandons à la nature en fonction de notre mode de vie. Multipliée par le nombre d'habitants sur Terre, elle permet ainsi d'avoir une idée de ce que l'humanité demande à notre planète, si toute la population était logée à la même enseigne.

Comment se situer ?

Un terrain de foot représente à peu près 1/2 hectare. En comptant la superficie de la Terre et un nombre d'habitants de 6 milliards, on dénombre environ 17 terrains de foot par personne en moyenne. Chiffre qui descend très vite beaucoup plus bas, car en tenant compte de l'étendue des océans, des terres non productives (déserts, glaciers, etc) et d'un peu de terre laissée aux autres espèces animales, onobtient un total de seulement 3 terrains de foot par personne.
3 terrains de foot par personne, c'est ce que nous devrions consommer en moyenne afin d'être quasi-certain que notre terre nourricière ne souffre pas trop. Sachant que l'empreinte écologique d'un Européen moyen est d'environ 10 terrains de foot, on est vraiment loin du compte !...

A vous de jouer !

Grâce à ce petit test, vous décrouvrirez que si tout le monde vivait à la mode européenne, l'humanité aurait besoin de 3,4 planètes pour survivre ! D'autres simulations sont également disponibles pour diverses nationalités et modes de vie: Chinois, Américains, adolescents ou hommes d'affaires, tout y passe.

Différentes questions sur votre alimentation, vos modes de transport et votre logement, vous aideront à estimer votre influence directe sur la nature. A vous d'en tirer les conclusions qui s'imposent et d'agir en conséquence.
Good intentions are not good enough. ;)


Mes résultats...

Vous allez dire que je prêche pour ma paroisse, mais je suis vraiment ravie que le mode alimentaire soit pris en compte pour le calcul. Quand on sait la quantité de ressources naturelles gaspillées par l'élevage, il aurait été abhérrant de l'ignorer (la Meatrix le dénonce très bien).

Hop, déjà un bon point pour moi...


Malheureusement, malgré les quelques efforts que je fais côté alimentation (végé, j'essaie aussi de ne consommer que des légumes de saison), j'ai vraiment un gros retard côté transport et logement.
Je fais pas mal de kilomètres par jour, quasiment jamais de co-voiturage et je vis seule dans un appartement de taille moyenne : côté empreinte écologique, ça ne pardonne pas.



Mon empreinte écologique : 2,67 planètes.

Bof bof pour une végé-écolo. :-/



Liens PS: Soyez sympas et partagez vos résultats avec moi, je suis curieuse. Allez, je vous ai bien avoué les miens après tout! ;)

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